Le philosophe écologiste français Bruno Latour est décédé le 9 octobre 2022. Son œuvre et sa pensée sont une contribution déterminante au nouveau courant de pensée mondial qui doit permettre à la modernité de retrouver un lien simple avec la Terre et d’élargir le champ de la connaissance.
Rudolf Steiner et l'anthroposophie sont devenus aujourd’hui l’objet d’attaques répétées. Pourtant, ce bashing passe à côté de l’essentiel : les nazis, par exemple, combattaient déjà l’anthroposophie il y a 100 ans en la qualifiant de « méthode juive ».
Les conceptions de Steiner semblent très éloignées de ce qui constitue aujourd’hui un standard intellectuel. Nous publions un chapitre du livre « L’anthroposophie, la provocation ? » de Wolfgang Müller.
Avec le 20e siècle, la guerre a pris une forme nouvelle, encore plus terrible. Dans ce contexte, il semble important de réfléchir aux sources de la guerre. Le mouvement anthroposophique est, depuis sa naissance et dans toutes ses aspirations, un mouvement pacifiste.
Dans son poème “L’éternité”, Rimbaud laisse transparaître une haute connaissance, intuitive, directe, à laquelle est donnée une inscription cosmique. Doué comme rarement un poète l’a été, Rimbaud n’a su trouver la voie qui lui aurait permis d’étancher sa soif d’esprit.
Des adultes épanouis, créatifs, motivés et ayant confiance en soi : n’est-ce pas ce que nous souhaitons tous à notre société ? Le quotidien dans les jardins d’enfant Steiner-Waldorf est organisé de sorte à encourager le développement de ces qualités, notamment à travers le jeu libre.
Certaines personnes capables de bien se concentrer éprouvent tout de même des difficultés à faire silence et à se plonger dans un contenu choisi. L’auteur, psychologue et pédagogue, décrit ici les bases, à la fois orientales et anthroposophiques, de la méditation : le silence et l’écoute.
La prodigieuse expansion du numérique induit une transformation profonde de l’univers culturel dans son ensemble, et provoque inévitablement une crise profonde dans les milieux pédagogiques.
L’action de l’humain sur la nature est-elle seulement destructrice? Comment appréhender une participation positive de l’être humain dans la nature, avec la nature, à travers les paysages.
