Il existe une couverture du magazine Demeter de 1939 où l’on peut voir Hitler avec des enfants et une légende: « Le 20 avril, le Führer fêtait son 50e anniversaire. » Cette couverture est à juste titre choquante, surtout lorsqu’on sait à quel point l’anthroposophie et le nazisme s’opposent.
Peut-on affirmer que l’anthroposophie n’a aucune base scientifique et que ses applications, comme la biodynamie ou la médecine anthroposophique, ne produisent aucun effet mesurable ? Pas si l’on s’en tient aux faits.
Il sonne presque positif, ce qualificatif qu’a trouvé Jean-Baptiste Malet, auteur de l’article « L’anthroposophie, discrète multinationale de l’ésotérisme » dans le Monde diplomatique de juillet 2018.
L'anthroposophie est-elle vraiment une organisation tentaculaire ? A-t-elle vraiment des affinités avec les nazisme ? Retour sur l'article de Jean-Baptiste Malet publié dans le Monde Diplomatique à la lumière des faits historiques factuels.
En avril 2000, une commission mandatée par la Société anthroposophique des Pays-Bas a présentait son rapport examinant l’œuvre de Steiner du point de vue du thème des « races ». Dans le rapport final, la Commission a également présenté ses conclusions sur la question de l'antisémitisme.
Lettre ouverte à Jean-Baptiste Malet, à propos de l’article « L’anthroposophie, discrète multinationale de l’ésotérisme », Le Monde diplomatique, juillet 2018.
Une réponse détaillée concernant les accusations de racisme qui visent Rudolf Steiner et l'anthroposophie. Les faits démontrent que ces accusations sont infondées.
Le potentiel du mouvement anthroposophique, né il y a un siècle, est-il épuisé ? L'auteur explore trois enjeux contemporains : le virtuel, la méditation et le fondamentalisme religieux, illustrant comment ce courant peut rester actuel en se confrontant aux défis modernes.
